Dossier – Le virus zombie a-t-il infecté le cinéma chinois ?
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Le virus zombie a-t-il infecté le cinéma chinois ?
Associer Chine et zombie peut sembler absurde. Pourtant, on peut retrouver dans les traditions chinoises les plus anciennes la trace de créatures très proches du zombie : les Jiang-Shi. Le Jiang-Shi (“cadavre raide” littéralement) est un corps revenu à la vie, s’attaquant aux hommes et mu uniquement par l’énergie vitale traditionnelle chinoise à l’origine de la méchanceté et de la bêtise (le pò). Selon les croyances locales, un Jiang-Shi apparaîtrait lorsque une personne décède dans des circonstances tragiques, lorsque les rituels mortuaires ont rencontré un problème ou lorsque la personne a été inhumée dans un endroit maléfique ou loin de chez elle. Très proche du zombie occidental, le Jiang-Shi possède malgré tout ses propres caractéristiques traditionnelles. En effet, il se déplace typiquement en sautant à pieds joints, bras tendus devant soi, d’où le nom de hopping zombie aux États-Unis. D’ailleurs, cette étrange démarche est habituellement expliquée par la rigidité cadavérique ou par la croyance en le Yin et le Yang (énergies positives et négatives). Un cadavre étant rempli d’énergie négative et la terre étant pleine d’énergie positive, ils se repoussent naturellement.
Ainsi, les chinois tremblaient déjà à l’idée de voir les morts revenir sur terre bien avant que le mythe du zombie ne se forge en Haïti dès la fin du XIXème siècle. Cette peur, toujours présente aujourd’hui dans les contrées reculées de la Chine, était si importante que les corps des riches défunts étaient enterrés en fonction de pratiques géomanciennes très compliquées afin d’éviter le retour du mort. Il n’est donc pas étonnant que le cinéma chinois et notamment celui de Hong-Kong se soient très vite emparés de ces histoires terrifiantes de morts revenant à la vie et dévorant les vivants. Comment le Jiang-Shi a-t-il évolué face à l’influence occidentale et a-t-il laissé une place au zombie dans le cinéma de l’empire du milieu ?
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Les films de Jiang-Shi chinois : influences et évolution
Figure très importante de la mythologie chinois, le Jiang-Shi a ainsi envahi le cinéma hongkongais dès les années 50. En effet, à cette époque, seule Hong-Kong avait la possibilité de produire des films s’inspirant des superstitions populaires, le cinéma de la Chine continentale ayant été réduit en 1949 à un instrument de propagande communiste lors de la création de la République Populaire de Chine (RPC) et ayant connu un terrible frein avec la révolution culturelle de 1966. Dans ce contexte, la colonie britannique apparaît alors comme le terrain de jeu idéal pour des réalisateurs fuyant Shanghai, capturée par les Japonais en 1937, et qui désirent laisser libre cours à leur talent artistique.
Le Jiang-Shi fait donc sa première apparition à l’écran en 1954 dans The Voyage of the Dead de Yeung Kung-Leung, soit plus de 20 ans après la sortie de White Zombie en 1932. Très fidèle à la mythologie chinoise, ce film reprit plusieurs aspects traditionnels du Jiang-Shi, dont sa démarche sautillante, et contribua à l’ancrer davantage dans l’imaginaire collectif. On découvre ainsi, après un court monologue, un prêtre taoïste guidant une procession de Jiang-Shi dont les visages sont masqués par des capuches noires, apparence qui changera progressivement au fil des années.
Il fallut attendre 1980, pour qu’un nouveau film de Jiang-Shi marquant soit tourné. A cette époque là, le cinéma hongkongais connaissait de grands bouleversements. Les spectateurs commençaient à se lasser des films de kung-fu classiques caractéristiques des années 70 et l’attrait pour le cinéma américain, qui fera le succès de John Woo et de Tsui-Hark, était grandissant. Les réalisateurs se tournèrent alors davantage vers l’humour et tentèrent de mélanger les genres afin de contenter des spectateurs devenus plus difficiles et de coller de plus en plus au style américain des films d’horreur.
C’est dans ce contexte que Sammo Hung réalisa L’exorciste Chinois (The encounters of the spooky kind), film comique mêlant kung-fu et Jiang-Shi, qui raconte l’histoire de Hung, un chauffeur de taxi, pourchassé par des prêtres taoïstes engagés par son maître pour le tuer. Avec ce film, le Jiang-Shi passa définitivement du statut de monstre redouté à celui de punching ball mortuaire et le mouvement des Ghost Kung fu Comedy fut lancé. Les scènes comiques vont bon train et on passe un agréable moment à voir comment Hung, malgré sa maladresse, parvient à s’en sortir. Le film rencontra alors un véritable succès. Mais au delà de cette réussite commerciale, L’exorciste Chinois eut surtout un rôle majeur dans l’évolution du Jiang-Shi dans l’imaginaire populaire.
En effet, l’image popularisée du hopping zombie, due à ce film, et que l’on a retrouvée dans toutes les autres productions chinoises qui ont suivi, est celle d’un mort-vivant en costume mandchou de la dynastie Qing. Leur apparence diffère donc grandement des costumes noirs à capuche que portaient les hopping zombies dans The voyage of the dead. De la même manière, il donna un aspect plus ingrat à certains zombies, les montrant dans un état de décomposition avancé, très proches des zombies italiens des années 80.
Fort du succès de L’exorciste Chinois, des films aux titres plus qu’évocateurs comme Kung-fu zombie (1982) ou Kung-fu beyond the grave (1984) virent alors le jour et tentèrent d’appliquer la même recette sans grande réussite.
Mais le rôle de Sammo Hung en ce qui concerne l’implantation du Jiang-Shi dans le paysage cinématographique chinois ne s’arrête pas là. En effet, il revint très rapidement sur le devant de la scène en produisant Mr. Vampire en 1985, un film de Jiang-Shi symbole de l’évolution du hopping zombie. Comme l’explique Colin Geddes, programmateur du festival de Toronto et spécialiste du cinéma asiatique, Sammo Hung a profité de Mr. Vampire pour perfectionner le hopping zombie qui avait fait le succès de son L’exorciste Chinois. Si les deux films ont de nombreux points communs, tout l’intérêt de Mr. Vampire réside dans le fait qu’une blessure causée par un Jiang-Shi est contagieuse, le film n’ayant en lui-même rien d‘exceptionnel. On est certes proche du film de vampire (une personne mordue voit ses canines pousser) mais l’on reste malgré tout bien loin des vampires romantico-gothiques à l’européenne. N’ayant pas conscience de son état, agressant les humains et étant contagieux, le Jiang-Shi de Mr. Vampire se rapproche donc fortement du zombie occidental, même si son aspect reste similaire à celui développé par Sammo Hung dans L’exorciste Chinois. D’ailleurs, un autre point intéressant est l’introduction dans le film de l’idée que les hopping zombies repéreraient leurs victimes grâce à leur souffle (énergie positive). Cela donne alors lieu à des situations incongrues où les héros s’efforcent de retenir leur souffle, plantent leur doigt dans les côtes de leur ennemi pour le forcer à respirer ou encore soufflent dans des tubes en bambou pour distraire le hopping zombie.
En revanche, si Sammo Hung semble n’avoir été que peu influencé par le cinéma occidental, Tsui Hark qui a étudié le cinéma au Texas, produit en 1987 une œuvre hybride aux influences multiples. Histoire de fantômes chinois, réalisé par Ching Siu Tung, s’inscrit ainsi dans la lignée des films comiques et horrifiques de Hong-Kong tout en étant un aveux d’un amour démesuré pour le cinéma d’horreur américain qui fleurissait depuis les années 80. On y retrouve ainsi de nombreux démons mythologiques chinois, mais surtout des zombies dont l’esthétique et le comportement sont proches de ceux que l’on peut trouver dans l’oeuvre de Romero, même si leur rôle est mineur. Du coup, malgré une narration assez hasardeuse, on ne peut qu’admirer ce film pour son travail de mise en scène impeccable. Entre combats au clair de lune chorégraphiés à merveille et défilés de monstres vraiment surprenants, on ne manque d’ailleurs pas de repérer l’influence du Evil Dead de Sam Raimi, comme le fait remarquer Tom Charity (un critique cinéma pour CNN) dans 1001 films à voir avant de mourir. Un plaisir coupable.
Ainsi, à la fin des années 80, certains réalisateurs chinois semblaient de plus en plus lorgner vers la figure du zombie à l’occidental En réalité, on se rend compte que cette influence est antérieure même si mesurée. En effet, en 1976, Meng Hua-Ho, réalisa Black Magic 2: The revenge of the zombies, un film s’approchant très fortement des films américains de zombies vaudous des années 30-40. Car, si la magie noire des prêtres taoïstes de l’histoire est un élément central de l’intrigue, il n’est nullement question de Jiang-Shi. Dans Black Magic 2: The revenge of the zombies, l’un des principaux personnages est un sorcier qui prend le contrôle du corps de ses victimes et les transforme en zombies corvéables à merci. Pour cela, le mage utilise des clous magiques qu’il enfonce dans le crâne de ses victimes pour les réanimer et les envoyer effectuer leurs missions. On fleurte donc avec le zombie vaudou, où des sorciers vaudous asservissent leurs victimes et leur font exécuter les taches ingrates.
Ainsi, on se rend compte que le statut particulier d’Hong-Kong et ses liens avec l’occident ont permis à de jeunes réalisateurs d’exploiter à la fois les traditions de leurs pays tout en se faisant l’écho des influences multiples qui s’exerçaient sur l’île. Toutefois, si le Jiang-Shi a pu progressivement se rapprocher du zombie occidental, il n’en reste pas moins que les thématiques abordées dans les films de Jiang-Shi chinois des années 50 à 90 n’ont rien à voir avec ce qui se faisait aux États-unis à la même époque. Nul monde post-apocalyptique n’a été inventé et le Jiang-Shi n’est jamais pris au sérieux, les réalisateurs préférant les mêler à d’amusantes histoires de vengeance ou les confronter à d’absurdes prêtres taoïstes. Le Jiang-shi doit faire rire et se battre si l’on veut plaire aux spectateurs alors même que le zombie n’est devenu un sujet de comédie que depuis les années 80 en occident.
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Le zombie occidental : une faible accroche
Il fallut donc attendre la sortie de Bio-zombie, réalisé par Wilson Yip, en 1998 pour qu’un film hongkongais recoupe les même thématiques que les films de zombies occidentaux. L’action de Bio-zombie se déroule presque intégralement dans un centre commercial et le film fut alors considéré comme un hommage à Dawn of the dead (Zombie) de Romero. Toujours à la sauce comique, Bio-zombie raconte l’histoire de deux petites frappes, jouées par les inoubliables Jordan Chan et Sam Lee, qui se retrouvent coincées dans un centre commercial envahi de zombies. D’ailleurs l’influence occidentale se ressent aussi avec l’introduction d’éléments de critique sociale, alors que les films de Jiang-Shi en sont dépourvus. En effet, Wilson Yip a expliqué dans une interview accordée à Cinemasie que ce qui l’intéressait dans le film de zombie et d’horreur plus généralement, c’est que l’on pouvait facilement évoquer des thèmes secondaires. Bio-zombie ne se contente donc pas d’amuser comme les précédents films de zombies chinois mais cherche à dresser une critique sociale. Par exemple, les militaires chinois chargés d’acheter aux irakiens l’arme chimique responsable de l’invasion zombie, sont montrés comme des hommes particulièrement lâches et ridicules, comme s’ils n’avaient aucune maîtrise de ce qu’ils faisaient. De la même manière, en forçant les traits de caractère de ses personnages et en ne lésinant pas sur les stéréotypes, une critique évidente de la condition de la femme apparaît dans Bio-Zombie. En effet, un des personnages apparaît comme un mari brutal et sans aucun respect pour sa femme. Ils finissent d’ailleurs dévorés comme s’ils étaient tout deux coupables de leur situation, lui par sa violence et elle car elle acceptait de se faire traiter de la sorte.
Bio-Zombie est également intéressant car le film se fait l’écho du rôle des jeux vidéos dans la diffusion de la figure du zombie à l’échelle mondiale. Plusieurs scènes amusantes font ainsi explicitement références aux jeux vidéos, comme celle où chaque personnage est présenté avec sa fiche de caractéristiques (vie, arme etc…). Enfin, la conclusion de Bio-Zombie laisse présager une invasion à grande échelle ce qui ne s’était jamais vu dans les films de zombies chinois.
Toutefois, l’élan amorcé par Bio-Zombie ne fut pas suffisant pour implanter définitivement le zombie occidental dans le cinéma hongkongais et pour que celui-ci le fasse à son tour évoluer comme l’ont fait les japonais dès les années 2000. Si le film est aujourd’hui culte pour beaucoup d’amateurs de films honkongais, le film de zombie qui le suivit fut d’une piètre qualité. Sorti en 2000, Bio Cops, qui n’est absolument pas une suite de Bio-Zombie, ne retint de son prédécesseur que le côté lourdingue. En fait, le réalisateur Steve Cheng semble avoir oublié tout ce qui faisait l’intérêt des zombies modernes de Bio-Zombie et nous propose des infectés cannibales, conscients d’eux-mêmes et doués de la parole. Bref, sans intérêts.
Les années 2000 marquèrent néanmoins le retour à un cinéma plus traditionnel centré sur le Jiang-Shi. Il fut ainsi de nouveau mis en scène dans Vampire hunters (The era of vampires) en 2002 par Wellson Chin. Mais, même si dans la bande son anglaise les héros mentionnent le terme de “zombie”, les Jiang-Shi sont dotés d’une telle force qu’il est difficile de les considérer comme des zombies d’autant que le film n’apporte rien de nouveau.
En fait, un film synthétise bien l’ambiguïté des films des zombies en Chine, tiraillés entre la mythologie ancestrale et une image plus moderne. Réalisé en 2004 et suivi d’une suite en 2007, Shaolin vs Evil dead applique la même recette que les films de Jiang Shi des années 80. Mêlant Kung-fu et créatures de l’au-delà, Shaolin vs Evil dead a la particularité de faire apparaître à l’écran non seulement des Jiang-Shi dans la tradition de Mr. Vampire mais surtout des morts-vivants se comportant tels des zombies. A ce titre, le film rappelle le cinéma de zombie italien des années 80, comme lorsque les cadavres émergent du sol pour attaquer les héros. Une scène est à ce titre particulièrement intéressante puisque l’on y voit les Jiang-Shi sautiller au premier plan alors qu’une armée de zombie s’avance au second plan. Toutefois, l’armée de zombies disparaît rapidement de l’écran au profit des Jiang-Shi.
Le zombie occidental est ainsi délaissé. Il fallut donc attendre 2008 pour qu’il fasse une brève apparition, sous l’apparence de contaminés à la Crossed, dans une des parties de l’étrange Scare 2 die.
En fin de compte, l’excellent Bio-zombie semble être sorti trop tard pour avoir pu créer un véritable mouvement d’engouement pour le zombie occidental dans les années 2000. En effet, en 1997 Hong-Kong fut rétrocédé à la RPC et les principales stars du cinéma hongkongais (John Woo, Tsui Hark…) partirent pour les États-Unis. De plus, le cinéma hongkongais connut la même année une crise économique et perdit de plus en plus de spectateurs face à un marché de la vidéo piratée grandissant. Sans ses réalisateurs les plus influencés par l’occident et avec ses jeunes réalisateurs coincés dans un cinéma démantelé par le parti communiste sous prétexte de vouloir faire de Pékin la ville du cinéma chinois, les zombies se retrouvaient de nouveau au placard. Pourtant, comme le montre la toute récente sortie de Zombie 108 (film Taïwanais), il se pourrait que la Chine commence à assimiler le zombie occidental. Du coup, même si le cinema chinois reste fortement marqué par son propre bestiaire mythologique, le zombie pourrait bien cesser d’apparaître simplement de manière caricaturale et anecdotique. Toutefois, il est dommage de voir que le réalisateur de Zombie 108, Joe Chien, nous ait livré un travail quasi-identique aux nombreuses séries B américaines, avec même une dose inappropriée de torture porn dont aurait pu se passer.
Nous pouvons malgré tout espérer qu’un jour la Chine saura, comme les Japonais le font depuis les années 2000, faire à son tour évoluer la figure du zombie occidental selon ses propres particularités et ne contentera pas de recopier ce qui se fait de plus mauvais outre-atlantique.
Sources :
Bibliographie
Zombie Movies: The ultimate guide de Glenn Kay
Zombies ! de Julien Bétan et Raphaël Colson
Zombies! An illustrated History of the Undead de Jovanka VuckovicSites web
The world of chinese
L’encyclopédie du paranomal
hkcinemagic
IMDb
Cine club de Caen
Cinemasie
Dossier sympathique, je me coucherai moins con d’ici 5 minutes… non, vraiment, c’était sympa
J’aurais juste une petite remarque à faire, tout de même : tu as une vision très “occidentale” de la chose, faut faire gaffe à ça Je veux dire : pour quelle raison le point de vue Asiatique devrait-il se conformer au point de vue Occidental ? Pourquoi ne serait-ce pas à nous de nous inspirer des Jiang-Shi ? ^^
Bon, j’exagère un peu, certes, mais ouais, je pense qu’il ne faut pas oublier que toutes les vérités sont correctes, quelque soit le point de vue…
@Sam – Héhé Ta remarque est très pertinente mais as-tu lu ma dernière phrase ? “Nous pouvons malgré tout espérer qu’un jour la Chine saura, comme les Japonais le font depuis les années 2000, faire à son tour évoluer la figure du zombie occidental selon ses propres particularités et ne contentera pas de recopier ce qui se fait de plus mauvais outre-atlantique.” Clairement, il ne faudrait pas que le Jiang-shi disparaisse uniquement au profit de zombies occidentaux (et ça n’arrivera pas), mais ce qui serait intéressant, c’est que les réalisateurs chinois prennent le zombie moderne et lui appliquent leurs propres recettes et codes. Un film de Jiang-Shi avec une thématique post-apocalyptique ce serait le pied.
Ah oui, autant pour moi, je ne l’avais pas compris dans ce sens là
Vraiment très intéressant, surtout pour moi qui aime la culture asiatique en général.
Un très gros travail de recherche et, je pense, une très bonne synthèse.
J’attends avec une grande impatience les mêmes dossiers en ce qui concerne le cinéma japonais, taïwanais, coréen…
Merci pour ce moment de pure détente culturelle.
Merci Horax C’est prévu pour le cinéma Japonais mais pas pour tout de suite, notamment car beaucoup de films sont extrêmement difficiles à se procurer (mais j’en ai déjà vu un très grand nombre). Pour le cinéma zombie Taïwanais j’ai pris le parti de l’inclure dans la Chine notamment avec Zombie 108. Le prochain dossier, on changera de continent !
Une découverte pour ma part, n’étant pas vraiment accro à la culture Asiatique et à ses dérives “modernes”. Joli dossier ou l’œil de l’amateur éclairé a éveillé ma curiosité. Merci Squeletor.
j’attends avec impatience le dossier sur les Zombies de Romero…oui je sais, c’est vu et revu depuis des lustres, mais quand on aime!