The Last Survivors, Épisode 10 – Chapitre 4 & Épilogue

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Soutenue par Henry, Sarah entra dans le hangar par la porte de derrière. Un long couloir aux murs ternes et défraîchis se dressait devant eux. C’était un accès direct à la cellule où Taggart et Marcus avaient tenté d’enfermer Sarah et les autres prisonniers un peu plus tôt dans la journée. La jeune femme se remettait difficilement des heures passées dans le laboratoire du sous-sol de l’église. Elle traînait les pieds, tentant tant bien que mal de suivre le rythme imposé par Henry. Elle chancelait à chaque pas.

Ils traversaient le corridor quand des grognements vinrent tout à coup briser le silence des lieux. Ce n’était pas des râles terrifiants mais plutôt des gémissements passifs, presque imperceptibles. Henry saisit son Colt de la main droite tout en maintenant Sarah de l’autre. Il la dirigea devant lui et ils continuèrent à progresser vers l’inconnu.

Ils parvinrent au bout du couloir et pénétrèrent dans la salle où se trouvait la cellule. Le cœur de Sarah se serra subitement, violemment happé par le chagrin. Elle s’écarta d’Henry, le visage marqué par le spectacle qui se jouait devant ses yeux. Elle se couvrit la bouche pour s’empêcher de hurler. Henry éprouvait les mêmes sentiments que la jeune femme. Il posa une main compatissante sur son épaule d’un air abattu.

Taylor avait raison. Salomon avait condamné les prisonniers à une mort certaine. Sept macchabées – ceux que Carlos et ses comparses avaient capturés dans l’enclos – étaient accroupis à côté des corps décharnés, démembrés et dévorés des prisonniers. Leurs gémissements n’étaient que le bruit ignoble de l’étanchement de leur faim.

—   Allez vous faire foutre ! s’écria Sarah tiraillée par la colère. (Elle agrippa les barreaux de la cellule et hurla, son corps soubresautant involontairement.) Merde !

L’une des créatures tourna nonchalamment son visage ensanglanté vers la jeune femme. Il mastiquait un morceau de chair en fixant son regard. Sarah arracha le Colt des mains d’Henry et abattit le monstre qui s’écroula sur le corps devant lequel il était accroupi. Elle dirigea ensuite le canon de l’arme en direction des autres morts-vivants qui ne lui prêtaient aucune attention et pressa la détente. Les zombies s’écroulèrent les uns après les autres, leurs crânes volant en éclat dans un balai funeste d’os et de cervelle au rythme des détonations. Sarah se retourna ensuite vers Henry, haletante, et lui rendit le Colt.

—   Ça y est ! lança Henry en cherchant des munitions dans la poche de son pantalon. Tu te sens mieux ?

—   On est arrivés ici ensemble, Henry, répondit Sarah en s’empêchant de regarder les corps gisant dans la cellule. Et encore une fois, je suis la seule à être encore en vie.

—   Ne culpabilise pas pour ça.

—  Hier, c’était Kenneth et Dimitri, et aujourd’hui, ce sont ces pauvres gens dont je ne connais même pas le nom !

—   On a tous perdu des proches, des gens qui nous ont tendu la main et d’autres rencontrés sur notre chemin. La plupart d’entre eux sont morts aujourd’hui. Ce sont les règles de ce nouveau monde.

—   Mais je n’ai rien demandé, moi ! Tu crois que cette putain de morsure me fait plaisir ? s’énerva Sarah en lui montrant la cicatrice.

—   Arrête.

—   Tous les matins, elle ne me rappelle pas quelle putain de chance j’ai d’être toujours en vie… Oh non ! Elle m’empêche au contraire d’oublier le visage des personnes qui sont mortes en voulant la protéger. Si tu restes avec moi, toi aussi, tu finiras par te faire tuer. Alors si t’es pas con, laisse-moi et casse-toi !

—   Quoi, après tout ce que j’ai fait pour te récupérer ? N’y compte même pas. Que tu le veuilles ou non, on est liés maintenant.

—   Ouais. Jusqu’à ce que tu crèves comme les autres.

Des voix étouffées provenant du hangar attirèrent tout à coup leur attention. Henry empoigna son Colt à deux mains.

—    Silence.

—   On devrait rebrousser chemin, conseilla la jeune femme. C’est peut-être Salomon.

—    Et si c’était Taylor ? Ou Stacy ? Pas question de les laisser ici.

Il s’engouffra dans le petit corridor sombre, l’arme braquée devant lui. Suivi par Sarah, il traversa le couloir d’un pas discret et poussa silencieusement la porte, une fois le corridor derrière eux. Les voix devinrent alors claires. Il jeta un œil discret dans le hangar. Carlos et deux types discutaient sans remarquer qu’ils étaient observés. La camionnette servant à transporter les zombies et deux 4×4 étaient garés dans le hangar.

—   Putain ! Ce vieux fou a pété une durite ! s’exclama un des types accoudé à la camionnette.

—   Il a transformé tout le monde, ajouta l’autre. Ces saletés sont partout. On fait quoi maintenant ?

—   On prend une bagnole et on se barre de là, répondit Carlos en grimpant dans le 4×4.

Les clés du véhicule étaient dans la boite à gant. L’homme se penchait sur la banquette pour les attraper quand Henry sortit du couloir le visage fermé et le Colt pointé devant lui. Il tira sur le premier type qui, touché à la jambe, chuta. Une autre balle lui transperça aussitôt le front, sa cervelle giclant sur le bitume maculé de tâches d’huile de moteur.

L’autre type, surpris par les détonations, se retourna en sortant son arme de son étui mais deux tirs dans la poitrine le coupèrent dans son élan et le propulsèrent contre la camionnette. Il se laissa glisser au sol et s’effondra dans une position improbable.

Carlos était resté caché derrière le tableau de bord du 4×4. Il releva la tête pour découvrir la position du tireur. Henry vida son chargeur dans sa direction. Les vitres du véhicule éclatèrent en morceaux et recouvrirent son corps. Il leva alors son arme et tira au hasard, obligeant Henry à se planquer derrière le second 4×4. Sarah s’élança soudain du corridor et le rejoignit en évitant les balles.

—   Je pensais t’avoir buté ! s’exclama Carlos en se glissant à l’extérieur du 4×4. (Il s’adossa au véhicule.) T’as la peau dure, enfoiré !

—   Tu me dois une balle ! répondit Henry, la main crispée sur le Colt.

—   Donc on en est à se devoir des choses maintenant !

Carlos se redressa, pointa son arme à travers les vitres du 4×4 et tira. La rafale larda l’autre véhicule, contraignant Henry et Sarah à rester à couvert. Puis l’homme reprit sa position initiale.

—   Dis-moi une chose, Henry… Pourquoi sacrifier ta vie pour une femme comme elle ? J’veux dire… si on peut rien faire de bon avec son sang, pourquoi lutter ? Je serais toi, je lui mettrais une balle dans la tête et je la donnerais à bouffer aux zombies !

—   Tu peux pas comprendre ! répondit sévèrement Henry en se levant pour tirer sur le véhicule de son assaillant.

Les tirs créèrent des étincelles en percutant le 4×4. Henry se mit ensuite à couvert.

—    Il ne me reste plus que deux balles, dit-il après avoir vérifié son chargeur.

—   Merde ! répliqua Sarah en jetant un œil rapide par la vitre pour voir la position de Carlos. Cet enfoiré est bien trop prudent pour nous laisser la moindre ouverture.

—   Je sais. Et tu proposes quoi ?

—  Je fais diversion par la droite et tu l’abats quand il se découvre pour me tirer dessus.

—   T’es folle ! Tu tiens à peine sur tes jambes.

Sachant qu’il ne la laisserait pas s’exposer au danger, Sarah se leva tout à coup et se mit à courir en criant malgré sa grande fatigue :

—    Enculé !

Elle se dirigea vers le fond du hangar, où elle espérait trouver refuge dans un renforcement du mur. Comme prévu, Carlos émergea de sa cachette et visa la jeune femme.

—    Fais chier ! lâcha Henry, surpris par sa réaction.

Il se redressa à son tour et tira sur Carlos. Touché à l’épaule, le mexicain manqua sa cible de justesse. Il s’effondra derrière le 4×4 en poussant un gémissement. Dans sa chute, il lâcha son arme qui glissa vers Sarah qui était parvenue à se mettre à l’abri, essoufflée.

Henry s’approcha du véhicule en braquant son arme, prêt à faire feu sur Carlos. Il fit le tour du 4×4 et s’immobilisa. L’homme avait disparu. Des tâches de sang maculaient le sol.

—    Et merde !

Brusquement, Carlos le surprit par derrière et referma ses mains autour du cou d’Henry avec violence. Henry grimaça et tenta de se retourner mais l’homme s’acharnait. Il redressa alors son Colt vers le visage de son opposant, espérant lui trouer la cervelle. Carlos lâcha sa nuque et avec sa main libérée agrippa le poignet d’Henry pour l’empêcher de pointer le canon vers lui. Une épreuve de force s’engagea alors entre les deux hommes, chacun essayant de prendre le dessus sur l’autre. Leurs gémissements traduisaient leurs efforts surhumains.

Henry avait l’avantage et le Colt se rapprochait du visage de Carlos, centimètre après centimètre. Le mexicain, sentant la chaleur du canon lui caresser la joue, parvint, dans un dernier effort, à dévier la trajectoire de l’arme. Voyant la situation lui échapper, Henry pressa alors la détente. La balle érafla l’oreille de Carlos qui hurla, happé par une violente douleur. Il s’écarta d’Henry et, malgré le sifflement qui lui vrillait les tympans, réussit à lui faire lâcher l’arme. Il le poussa violemment contre le véhicule. Il se retourna ensuite et tomba nez-à-nez sur Sarah qui avait ramassé son arme. Elle le braquait.

—    Tu comptes faire quoi ? demanda-t-il en haletant. Me buter ?

—    Ouais, répondit la jeune femme, et je vais prendre un pied immense !

Elle tira mais aucune balle ne sortit. Un cliquetis s’échappa du canon.

—    J’ai plus de balles, poufiasse ! lança Carlos, haineux.

Il fit quelques pas vers Sarah qui s’obstinait à presser la détente et lui donna un violent revers de la main. Elle s’écroula sonnée.

Retrouvant ses forces, Henry se jeta sur Carlos et le plaqua au sol, le visage assombri par la colère. Penché au-dessus de lui, il le frappa au visage, le poing serré. Un autre coup et son nez se brisa. Carlos tenta de lui rendre les coups mais Henry plongea ses doigts dans sa blessure à l’épaule, le faisant hurler de douleur. Carlos passa outre la souffrance et parvint à le repousser. Il se releva hâtivement et se rua sur lui comme un chien enragé. Il le poussa contre la camionnette et lui mit un directe au visage. Henry s’écarta alors du véhicule en chancelant, laissant ainsi à son agresseur l’opportunité de frapper à nouveau. Sentant qu’il pouvait prendre le dessus, Carlos lança son poing crispé vers Henry mais son poignet refusa brusquement de lui obéir. Il était bloqué.

—    Qu’est-ce que t’as fait, salope !

Son poignet droit était attaché aux menottes fixées à l’un des barreaux de la camionnette. Sarah l’avait pris au piège alors qu’il était concentré sur Henry.

—    Libère-moi ! hurla-t-il en tirant en vain sur son poignet.

—   Pris au piège comme un de tes putains de zombies ! rétorqua Sarah en esquissant un sourire de satisfaction. (Elle s’adressa ensuite à Henry.) Prêt ?

L’homme savait ce qu’elle avait en tête. Il acquiesça d’un hochement de la tête. Sarah ouvrit la portière côté conducteur de la camionnette et desserra le frein à main. Le véhicule se mit alors à avancer au pas vers la sortie du hangar.

—   Bande d’enculés ! Détachez-moi ! vociféra Carlos contraint de marcher à côté du véhicule.

Henry poussa les portes du bâtiment. La camionnette emprunta un remblai à la sortie du hangar et prit un peu plus de vitesse. Surpris, Carlos ne put suivre la cadence et trébucha. Il fut traîné jusqu’au milieu de la grande place alors qu’il continuait de les insulter. Puis le véhicule s’arrêta lentement près du grand chêne.

Attirés par les cris de l’homme, quelques zombies accoururent vers lui en grognant.

—    Non !

Ils l’enveloppèrent et mordirent dans sa chair. Carlos poussait des cris terrifiants. Sa voix montait de plus en plus dans les aigus et se déformait à chaque coup de dent. Un macchabée sectionna son bras et le libéra, laissant sa main pendre par les menottes. Il se hissa alors sur le sol poussiéreux en espérant échapper aux créatures mais, affaibli, parvint à se traîner sur quelques mètres seulement. Il poussa ensuite un dernier cri et laissa les monstres savourer leur repas dans la tranquillité.

Sans perdre de temps, tandis que d’autres créatures courraient dans leur direction, Sarah et Henry se glissèrent dans un des 4×4. L’homme démarra en trombe et ils quittèrent le hangar en heurtant un zombie qui s’était présenté devant l’entrée. Le monstre se disloqua sur le capot et laissa une traînée de sang sur le sol dans sa chute. Le véhicule prit de la vitesse et traversa la grande place, contournant le corps de Carlos à moitié dévoré, et quitta le Sanctuaire.

***

Le soleil émergeait à l’horizon, laissant l’aube colorer le ciel de ses belles teintes matinales. La nuit disparaissait peu à peu. Elle emportait avec elle toutes les horreurs commises. Le 4×4 quitta la clairière et se dirigea vers le petit pont métallique par lequel ils étaient arrivés.

—   Rassure-moi… dit Henry, concentré sur sa conduite. Tu vas pas m’attaquer cette fois-ci ?

Sarah laissa échapper un rire incontrôlé. Elle se tourna vers lui.

—   T’inquiète pas. Je ferai pas ma salope une seconde fois ! (Elle marqua une pause et reprit.) Au fait, je m’appelle Sarah.

Henry ne put cacher le sourire qui s’était dessiné sur son visage. Il répondit avec beaucoup d’ironie :

—    Enchanté Sarah !

Ils parvinrent rapidement au pont mais leurs visages se rembrunirent tout à coup. Au bord de la falaise, Stacy était penchée au-dessus d’un corps gisant au sol. Le véhicule stoppa à ses côtés et Henry se précipita à l’extérieur. C’était Earl. Il était allongé, un trou béant dans la poitrine.

—    Il s’est passé quoi, putain ?

—   Salomon l’a abattu comme un chien, répondit Stacy, les yeux noyés de larmes face à la dépouille de l’homme.

Sarah sortit du 4×4, attristée.

—    Et Taylor ? s’enquit Henry avec inquiétude. Elle est où ?

—   Ce salopard l’a kidnappée. Il a pris la Volvo et ils sont partis. Dieu seul sait ce qu’il va lui faire maintenant.

Rien n’était terminé. Il restait encore un monstre en vie. Henry fixa un instant le corps d’Earl et se retourna vers Sarah, restée en retrait. Il comprit alors que des choix douloureux étaient encore à faire. Des choix qui ralentiraient une fois de plus sa quête d’une vie normale.

The last survivors

Épilogue

On entendait les premiers gazouillis des oiseaux nichés dans les arbres ; on sentait la première brise matinale souffler agréablement ; on apercevait les premiers rayons du soleil caresser l’herbe fraîche. Tout était calme ce matin-là, apaisé. La nature s’était réveillée comme elle l’avait toujours fait, sans se soucier des horreurs que le nouveau monde avait engendrées.

Le vrombissement du moteur d’un pick-up blanc vint brutalement briser le silence et entra dans la prairie, obligeant une volée de moineaux à quitter précipitamment l’arbre dans lequel ils s’étaient perchés. Le véhicule stoppa sa course face à un vieux 4×4 noir aux côtés duquel un corps gisait inerte.

Quatre malabars s’extirpèrent du pick-up, leurs fusils en bandoulière. L’un d’eux s’approcha du véhicule et posa une main sur le capot.

—    Le moteur est froid ! lança-t-il à la cantonade.

—   Ce type a été abattu d’une balle en pleine tête, dit un autre après s’être accroupi à côté du corps.

Un peu plus loin, à quelques mètres d’une vieille ferme qui se situait en amont dans la prairie, un autre corps attira leur attention. Ils accoururent aussitôt.

—    C’est un des nôtres ! s’exclama un homme, le visage fermé.

—    Qu’est-ce qu’il s’est passé, bordel !

Un macchabée, les vêtements déchirés et crasseux, apparut sur le côté de la ferme et tituba sur la véranda, les bras ballants. Un des types le remarqua et fit signe aux autres de regarder en silence dans sa direction. Il fit quelques pas vers le monstre, leva son  fusil et lui tira dessus. Les balles fendirent l’air sans un bruit, étouffées par le silencieux installé au bout du canon. La mort-vivant s’effondra alors en heurtant le rebord d’une des fenêtres de la demeure et se fracassa le crâne.

L’escouade se dirigea alors vers la vieille masure d’un pas prudent, leurs armes balayant minutieusement la zone. Les vitres de la maison avaient été brisées et les planches ayant servi à barricader les fenêtres enfoncées, signes d’un assaut orchestré par une horde de morts-vivants.

Ils entrèrent. Un groupe de cadavres errait dans la pièce. Les hommes les abattirent aussitôt, sans sommation. Un autre chancelait en haut des marches. Un des types dirigea le canon de son fusil vers lui et pressa la détente. Après avoir reçu deux balles dans la poitrine, le zombie tomba dans les escaliers et dévala les marches, se brisant la nuque et les membres. Il stoppa sa chute en contrebas dans une position absurde.

Les types gravirent les escaliers et enfoncèrent les portes de l’étage une à une sans y trouver personne. L’un d’entre eux pénétra finalement dans la dernière pièce en braquant son fusil à l’intérieur. Son visage s’illumina.

—    Je l’ai trouvé !

Ses compagnons le rejoignirent aussitôt. Posté face à la fenêtre, Caïn se retourna.

—    Vous en avez mis du temps !

—    On pensait que t’étais mort en te voyant pas revenir.

—    J’ai failli y rester, oui.

—   Qu’est-ce qu’il s’est passé, ici ? s’enquit l’homme en quadrillant la pièce du regard.

—   On a été trahis !

—   Et on fait quoi, maintenant ?

Le visage de Caïn s’assombrit tout à coup.

— Maintenant, dit l’homme d’une voix déterminée, on rassemble un maximum de combattants et on part traquer cet enfoiré d’Henry !

Fin de la saison 1


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4 commentaires

  1. Sébastien dit :

    Voilà! Cette saison est terminée. N’hésitez pas à me laisser vos commentaires.

    1. Said dit :

      Je viens de terminer la saison et franchement j’ai trop kiffé ! J’ai hâte de lire la suite, septembre c’est loin !! lol
      En tout cas c’est bien écrit et prenant.

      PS : Le site déchire #thelastsurvivors

      1. Sébastien dit :

        Merci Said pour ton soutien. Ravi que cette saison t’ait plu. RDV donc en septembre pour la suite et si le cœur t’en dit, tu peux me rejoindre sur la page facebook de la série.

  2. Vincent dit :

    Je viens de découvrir ce site et ce roman… Je l’ai fini en 2 jours. Merci beaucoup.

    J’aime beaucoup le style. J’attends la suite avec impatience.

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