Alors que cela fait plusieurs mois que je vous parle de Les Décharnés – Une lueur au crépuscule, mon premier roman, j’ai le plaisir de vous annoncer qu’il est enfin disponible en version numérique et physique.
Fruit de ma passion pour les zombies et de plusieurs années de travail, Les Décharnés vous invite à partir pour une nouvelle aventure zombie du côté de la Provence. Inutile de tergiverser davantage, voici le synopsis et les liens qui vous permettront de vous faire un petit cadeau et de me soutenir. En tout cas, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à découvrir Les Décharnés que j’ai pu en avoir en l’écrivant.
« Une journée de juin comme une autre en Provence. Blessé à la cheville, Patrick, un agriculteur de la région, asocial et vieillissant, ne souhaite qu’une chose : se remettre au plus vite pour retrouver la monotonie de sa vie, rythmée par un travail acharné.
Mais le monde bascule dans l’horreur lorsque les automobilistes, coincés dans un embouteillage non loin de chez lui, se transforment soudain en fous assoiffés de sang… de sang humain. S’il veut survivre, Patrick doit non seulement faire face à ces démons qui frappent à sa porte mais aussi à ceux, plus sournois, qui l’assaillent intérieurement. Et si cette petite fille, qu’il prend sous son aile, parvenait à le ramener, lui, vieux loup solitaire, dans le monde des vivants ? »
Où trouver Les Décharnés ?
– En version papier sur Amazon.
– En version numérique sur Amazon (Kindle).
– En version numérique sur la Fnac (epub).
– En version numérique sur le Kobo Store (epub).
Vous souhaitez pouvoir le trouver ailleurs ? N’hésitez pas à m’en faire part par mail (squeletor (at) www.myzombieculture.com).
Les Décharnés – Une lueur au crépuscule, le premier roman zombie de Paul Clément est disponible au format papier et numérique.
Si vous souhaitez en savoir plus sur Les Décharnés et mes projets en tant qu’auteur, vous pouvez me suivre sur Facebook, Twitter ou Google+ et, bien évidemment, visiter mon site officiel.
14 commentaires
Informations pour les Suisses: on peut le commander chez nos librairies “de quartiers” (pas Payot, ni FNAC, etc..), mais celles-ci devront faire des commandes spéciales (exit les gros distributeurs), donc longue attente (4 semaines pour moi).
Alors si, comme moi, vous préférez passer par les “locaux” (histoire de ne pas nourrir les gros 😉 ) prévoyez du délais.
Merci pour l’info mulk ! Les autres, vous savez ce qu’il vous reste à faire 😉
je l’ai commandé ! Donc je reviendrais ici pour dire ce que j’en ai pensé. Bon, ça ne sera pas tout de suite, car je suis sur un autre livre et que je suis hyper lente à lire.
Merci beaucoup, j’espère que tu passeras un bon moment avec.
Bonsoir, grand adepte de l’univers zombie, je suis tombé sur “les décharnés” gràce a Kindle. Et que dire, hormis que je l’ai adoré, très bonne histoire avec un vieil ours mal léché qui fond sous le regard d’une petite fillette dans un univers apocalyptique. Je n’ai qu’un seul regret, il m’a tellement plus qu’en deux jours je l’ai fini J’éspére pouvoir lire un autre livre écrit par le même auteur Bonne continuation et je vous en supplie, continuer
Très content que le livre t’ait plu et merci du retour (et encore plus du commentaire sur Amazon !). Ne t’inquiètes pas, je ne compte pas m’arrêter 😉
Bon vendredi soir, j’ai fini de le lire. Je dois dire avant que je mets pas mal de temps pour lire car je lis souvent dans le train, rarement chez moi.
Malgré ça, je l’ai dévoré. L’histoire est vraiment très bien même si c’est super triste à la fin, en même temps, rare de s’attendre à un happy end dans ce genre de monde apocalyptique. Mais je l’espère toujours, pourtant, je ne suis pas une optimiste de la vie.
la relation de Patrick et Emma est très jolie. Cet homme qui vit seul et qui ne sait même pas pourquoi lui-même prend cette petite fille sous son aile.
Ce qui me fait toujours plus flipper qu’un zombie dans ce monde, c’est les vivants. Leur vraie côté ressortent. Là, je suis ravie que ça reste le délire et qu’on n’est pas affaire à des cannibales.
En tout cas, bravo à Squeletor. J’attends le prochain avec impatience.
P.S : Par contre, j’ai eu un soucis avec le nom du frère d’Emma. Il faut que je regarde juste les bons passages.
Merci beaucoup Alexia pour le retour (et encore plus pour le comm Amazon !). Ravi que le roman t’ait plu. Effectivement il y avait un problème de prénoms dans la première version publiée et quelques fautes qui trainaient, tout cela a été corrigé dans la nouvelle version qui est en ligne depuis quelques semaines. Encore merci !
J’ai acheté ton livre car ce genre d’effort mérite d’être soutenu. Et ça y est, je l’ai fini !
Et cette exclamation qui vient du coeur est relativement de mauvais augure…
Car si j’ai l’habitude de dévorer tout ce qui me passe sous la main ayant un rapport avec les zombies, là j’ai eu du mal à reprendre la lecture à chaque fois, et jamais pour bien longtemps.
Pas du tout parce que c’est mal écrit, loin de là. Je n’ai pas réussi à me faire au paysan “encyclopédique”, comme m’avait laissé présager l’extrait, mais je suis passé outre.
La forme est donc plus que convenable, je ne critiquerai pas ce point un seul instant.
Le fond, en revanche, m’a vite laissé sur le côté de la route…
Un des attraits du livre était par exemple de localiser l’histoire chez nous. Or à plusieurs reprises, j’ai oublié ce point et ça ne m’a pas le moins dérangé du monde. J’aurais pu être en Californie ou en Argentine, en Russie ou au fin-fond du Portugal, rien n’aurait permis de distinguer la différence.
Mais soit, finalement la localisation importe peu, donc passons.
De toute façon, notre papy enchaîne les kilomètres sans broncher. Bien évidemment il transpire dès le matin, mais ensuite il enquille les bornes sans trop broncher. Et ce malgré les entorses et autres blessures qui lui font presque perdre connaissance la veille. On savait que la vie à la campagne endurcissait, mais à ce point ce n’est plus un paysan mais Wolverine… Là, j’ai lâché niveau crédibilité…
Puis est venu l’aspect psychologique des personnages. Alors que j’ai relativement accroché sur la relation entre le héros et la fillette (c’est simple mais crédible, surtout en ce qui concerne la gamine), le reste m’a encore perdu. Sans parler de l’inutile scène de beuverie dans la demeure désormais déserte, j’ai trouvé ridicule la relation héros/Gérald, ou Gérald tout court peut-être. Sans tout dévoiler, le mec a je ne sais combien de morts à son actif (et pas n’importe lesquels) et se la joue genre petit croche-pied mesquin dans la cour de récré ?
On oscille entre le méchant badass et le petit enfoiré qui vient backstabber ses potes au moment du partage du trésor, et ce sans ligne conductrice.
Finalement, j’ai très vite eu l’impression de lire un melting pot de TWD époque Gouverneur, d’Ennemis (big up au Thierry la fronde oculaire !) et Cockneys vs Zombies.
Un melting pot bien écrit mais qui ne m’a pas du tout attrapé par le col en me disant “Allez, encore une page avec de te coucher” alors qu’il est déjà 4h du mat’.
Au moins j’ai bien dormi…
Merci de ton retour et de ton soutien. C’est bien d’avoir aussi des critiques assez négatives, bien que ce soit la toute première.
Je n’ai pas l’intention de répondre point par point aux éléments que tu as jugé bon de souligner, ça n’aurait aucun sens puisque je suis l’auteur. Je tiens juste à te rappeler quand même que le héros n’est pas un vieillard, il a 57 ans… et à cet âge là on n’est pas une loque, loin de là. Et comme on te l’avait dit en réponse à ton précédent commentaire, être agriculteur ne signifie pas ne pas être cultivé ou être incapable de penser… là tu es toi même dans le cliché…
Enfin, si je peux voir le rapport avec TWD et la période du Gouverneur à cause du personnage de Gérald, j’ai beaucoup de mal à voir le lien avec Ennemis (ok il y a quelques ados survivants mais ça n’a absolument rien à voir) et encore moins avec Cockneys Vs Zombies, une comédie avec des vieux londoniens.
Content de ne pas t’avoir empêché de dormir en tout cas 😉
Il ne s’agit pas tant du niveau d’éducation que du phrasé. Mais comme je le disais, je suis passé outre.
Par contre, si à 57 ans on n’est en effet pas une loque, on ne se remet pas en une journée d’une entorse qui vous pousse aux limites de l’inconscience. Et on n’a pas mal au bout de 8 heures de marche, on ne peut simplement pas marcher et encore moins se réceptionner dessus en cas de saut ou de chute.
C’est là que tu m’as perdu. Je ne voyais plus un agriculteur du sud de la France mais Bruce Willis, alors que tu reviens plusieurs fois sur sa forme évanouie au fil des ans.
Mais vu ce que tu lui fais subir, j’aurais de toute façon fait la même remarque s’il avait eu 30 ans
Pour le lien avec Ennemis, c’est surtout en rapport avec le tome 1 et les enfants retranchés dans leur camp. Et pour CvZ, pour l’oncle badass malgré son âge.
À aucun moment je dis qu’il a une entorse. Je n’emploie pas le mot dans le roman, il a mal à la cheville mais rien ne dit que c’est aussi “grave” qu’une entorse. Et je ne pense pas qu’il marche 8 heures de suite, l’ensemble du roman se déroulant dans une zone très restreinte.
Tiens un court extrait…
“Ma cheville n’avait jamais cessé de me faire souffrir mais le mal était devenu anecdotique face à l’urgence de la situation et je l’avais refoulé.”
Bref, je ne veux pas débattre, mais là tu mets en avant un détail qui n’a pas vraiment lieu d’être.
Bonjour,
J’ai voulu acheter le format epub sur la fnac ou sur kobo il n’y est pas? ne peut-on se le procurer ailleurs que sur amazon?
Merci
Il était encore disponible sur Kobo et Fnac le mois dernier. Malheureusement, les ventes y étant quasi nulles, j’ai décidé d’inscrire mon roman au programme exclusif d’Amazon, donc il n’est plus disponible que sur Amazon. J’en suis le premier désolé. J’espère que vous me découvrirez quand même en passant par la version papier ou une des nombreuses possibilités pour lire un fichier Kindle (tablette, smartphone, etc). Merci et encore désolé !