The Last Survivors

The Last Survivors, Épisode 3 – Chapitres 3 & 4

Publié le 31 octobre 2014 par dans Divers, NewsCommentaires (9)

chap34

3

Henry n’avait pas l’habitude de rencontrer des gens biens. Le vieil homme en faisait partie. Il n’avait jamais eu l’intention de lui faire du mal. Son comportement violent était une comédie, nécessaire dans un monde où les lois ne s’appliquaient plus. Il voulait simplement savoir qui était Henry.

Penché au-dessus du lavabo de la salle de bain, Henry nettoya sa plaie au front avec un gant humide. Il se rinça le visage et s’essuya avec une serviette pendue par un crochet au mur. Malgré la violente altercation dans le garage, le vieil homme avait finalement proposé à Henry de s’occuper de sa blessure et lui avait indiqué la salle de bain. Il avait était surpris par sa réaction face à son petit-fils. Il avait sans doute vu en lui un homme torturé en pleine rédemption.

Henry fixa son reflet dans le miroir. Il ne reconnaissait plus l’homme qu’il était devenu. Les évènements avaient marqué son visage. Il avait changé. Par la force des choses, il y avait été contraint. Il se ressaisit et rejoignit le vieil homme dans le salon. Ce dernier buvait un verre de Scotch accoudé à la cheminée. Il grimaçait en se tenant la mâchoire, encore douloureuse après leur affrontement.

—    On est où ici ? demanda Henry.

—   Dans un quartier résidentiel au bord de la national, à deux pas de l’endroit où je t’ai trouvé, répondit le vieil homme en lui tendant un verre.

Henry le prit et but une gorgée. Le liquide passa âprement dans sa gorge et le réchauffa. Il toussa.

—    Je n’ai plus l’habitude de boire ce genre de chose ! lâcha-t-il un peu gêné.

—   Les mauvaises habitudes ne se perdent jamais. Encore une ou deux gorgée et tu retrouveras vite les sensations !

Henry se sentait mal-à-l’aise par rapport à l’altercation, dans le garage. Il avait compris trop tard que le vieil homme ne l’aurait pas tué.

—    Écoute. Pour ce qui s’est passé tout à l’heure…

—   Ah. N’y pense plus. Si j’avais été à ta place, j’aurais certainement agi de la même manière. La vie est souvent la seule chose que nous ayons. Alors il est normal de vouloir la protéger. (Il fit un pas en avant et lui tendit la main.) Je m’appelle Robert.

—   Henry, enchanté.

—   Là-bas, c’est ma femme. Martha.

La vieille femme préparait le déjeuner dans la cuisine. Elle le salua d’un geste de la main. Derrière elle, le petit fils de Robert jouait sur le sol avec des cubes à emboîter. Il se releva maladroitement et accourut vers Henry. Il l’enlaça. Dans un premier temps, l’homme n’osa pas le toucher, gêné. Mais il posa sa main sur sa tête et lui caressa timidement les cheveux.

—   Nous l’élevons seuls, depuis quelques mois, lui expliqua le vieil homme. Ses parents sont partis chercher des vivres mais ils ne sont pas encore revenus.

Robert baissa la tête avec tristesse. Il ne voulait pas l’admettre mais les parents de l’enfant ne reviendraient sans doute jamais. Le garçonnet leva les yeux, offrit un sourire à Henry et repartit jouer derrière sa grand-mère.

—   Tu as eu beaucoup de chance d’être tombé sur moi, dans les bois, ajouta le vieil homme.

—   Tu connais les mecs du fourgon ? s’enquit Henry en buvant une lampée de scotch.

—   Ce sont les hommes du Révérend Salomon !

—   C’est qui ?

—  Un pasteur protestant qui a pété un plomb après l’infection, grommela Robert. C’est un salopard pervers et sadique.

Henry souffla. Après avoir échappé à Caïn, il devait maintenant s’attaquer à ce révérend.

—    Et je le trouve où ?

—   Doucement, gamin ! On ne se pointe pas chez le Révérend comme ça, la bouche en cœur. Tu ne ferais pas un pas dans le Sanctuaire sans te faire repérer. Il te faut un plan et du renfort !

Henry regarda autour de lui en haussant les épaules.

—    Je suis seul !

—    Je connais une personne qui pourra peut-être t’aider. Taylor.

—    Je peux lui faire confiance ?

—   Oui. Nous nous sommes enfuis du Sanctuaire ensemble. À l’époque, nous y vivions. Nous faisions partie du groupe du Révérend Salomon. Mais les choses ont mal tourné. Taylor nous a été d’un grand secours.

Le visage de Robert s’assombrit tout à coup.

—    Fais vraiment attention à Salomon. Cet homme est un monstre !

Martha, qui écoutait la conversation, sécha ses mains avec un torchon et rejoignit son mari après avoir embrassé son petit-fils. Elle plongea ses yeux meurtris dans ceux d’Henry.

—   J’ai vu le véritable visage du Révérend, dit-elle d’une voix tremblante. Nous avions rejoint son groupe quelques semaines avant mais nous ne savions pas qui il était en réalité. (Elle reprit son souffle.) Un jour, une jeune femme et son bébé sont arrivés au Sanctuaire. Salomon les a accueillis chaleureusement. Cet homme a le don de vous faire croire n’importe quoi. Il vous dit ce que vous avez besoin d’entendre et vous donne ce qu’il faut pour vous mettre en confiance. C’est un très grand manipulateur.

Henry écoutait avec attention.

—   La femme faisait partie d’un groupe qui avait été attaqué par une horde quelques jours plus tôt. Son bébé et elle s’en étaient sortis de justesse. Ils avaient eu beaucoup de chance. Dès notre arrivée, Salomon m’avait donné la responsabilité de l’infirmerie car avant tout ça, je travaillais comme assistante médicale. Je sais faire des pansements et des piqûres. Le boulot n’était pas très compliqué au Sanctuaire. On était à l’abri du monde extérieur alors les blessures graves étaient très rares. La plupart du temps, je soignais des foulures, des rhumes ou des maux de tête. Mais le bébé de la femme est arrivé avec une roséole. Ce n’était pas très grave, beaucoup de nourrissons l’attrapent. Salomon m’avait quand même demandé de le garder en observation. (Elle prit subitement un air triste.) Un soir, je me suis rendu dans leur chambre pour une visite de routine et j’ai vu le Révérend sortir de la pièce avec le bébé dans ses bras. Ça ne m’avait pas paru étrange à ce moment-là mais ses mains étaient tâchées de sang. Je l’ai donc suivi jusqu’à l’église et je suis entrée.

Robert prit tendrement sa femme dans ses bras car il savait que cette expérience l’avait profondément marquée.

—    Tu es certaine de vouloir continuer ? demanda-t-il, inquiet.

Martha opina de la tête et poursuivit.

—   Je n’avais pas de raison de le faire mais je me suis cachée dans un coin et je l’ai observé. Il a posé le bébé sur l’autel et il a sorti un couteau. Mon Dieu ! Il l’a éventré ! (Elle hurla de terreur en se blottissant dans les bras de Robert.) Pauvre bébé ! Il n’a même pas crié. Le meurtre d’un enfant est un sacrilège devant Dieu. Mais ce qu’il a fait ensuite est innommable ! (Elle fit un pas vers Henry en haletant.) Il a ouvert la poitrine de l’enfant et en a extrait son coeur !

Martha se mit à pleurer. Robert la prit à nouveau dans ses bras en la rassurant.

—   C’est à la suite de ça que nous nous sommes enfuis avec quelques autres personnes, ajouta le vieil homme.

Henry était abasourdi par ce portrait terrifiant du révérend Salomon. Il resta un moment sans voix, touché par les mots de Martha. Qu’est-ce qui avait poussé un homme à agir de la sorte ? Et pourquoi assassiner un nouveau-né ? C’était autant de questions qui traversaient son esprit. Il ouvrit la bouche et balbutia :

—    Taylor vous a aidés à partir ?

—   Oui. (Le vieil homme marqua une pause et reprit.) Tu es toujours prêt à te rendre là-bas ?

Henry acquiesça d’un mouvement de tête.

—   Ok. Si tu veux sauver ton amie, nous n’avons pas de temps à perdre ! déclara le vieil homme.

The last survivors

4

Robert conduisit Henry dans le garage. Il désigna la moto du doigt.

—   C’est à mon fils. Je crains malheureusement qu’il n’en ait plus besoin, dit-il tristement. Et puis, j’ai vu l’état de ta bagnole. À moins d’y aller en marchant, c’est le seul moyen !

Henry enjamba la machine et démarra. Le moteur ronronna.

—   Tu ne m’as toujours pas dit où je pourrais trouver Taylor ? demanda Henry qui vérifiait le niveau d’essence en tapotant la jauge du doigt.

—   Taylor et son groupe vivent dans un bunker, répondit Robert en fouillant dans un carton posé sur une des étagères. Tu suis la nationale vers le nord. Au bout de huit kilomètres, après un petit pont métallique, tu tournes sur ta gauche. Tu longes la rivière jusqu’au barrage. Le bunker se trouve juste après. Tu ne peux pas le manquer !

—   Et tu es certain qu’il m’aidera ?

—   Taylor n’est pas très commode mais si tu lui expliques la situation, ça devrait le faire. (Il sortit une arme poussiéreuse du carton en souriant.) Tu étais là, ma belle !

Il prit un chiffon et l’épousseta. C’était une arme de collection qui était dans sa famille depuis des décennies. Il comptait, un jour, la transmettre à son fils mais il n’en avait pas eu le temps. Henry comprit aussitôt ce qu’il comptait en faire.

—    Oh non ! C’est hors de question !

—   C’est un Colt Baby Bragoon, expliqua fièrement Robert. Il appartenait à mon grand-père.

Le canon de l’arme était très allongé et fin. Les dorures de la crosse en bois avaient été faites à la main.

—   Je ne peux pas accepter ! annonça Henry sur un ton péremptoire. J’ai mon fusil-sniper.

—   Ton arme est bonne pour les combats à distance mais pour les affrontements rapprochés, elle ne vaut pas un clou ! (Il lui tendit le Colt.) Tiens. Prends ça. Je ne l’ai jamais utilisé.

Henry prit l’arme à contrecœur. C’était une superbe pièce qui n’avait rien à faire dans ce monde. Il sortit les balles de la vieille boite poussiéreuse que Robert lui tendit et les inséra dans le barillet.

—   Tu en auras plus besoin que moi, ajouta le vieil homme en soulevant manuellement la porte du garage.

Henry mit le Colt à sa ceinture et rangea le fusil-sniper dans un étui en cuir fixé à l’arrière de la moto. Il n’avait pas de mot pour décrire ce qu’il ressentait pour ce vieux couple et leur petit-fils. Leur rencontre n’avait pas duré longtemps mais elle avait été touchante. Henry contint difficilement ses émotions. Il se contenta de hocher la tête, incapable de dire quoi que ce soit

Il donna deux coups d’accélérateur et la moto gronda. Puis il sortit du garage en laissant derrière lui une traînée de fumée. Robert le regarda s’engager sur la nationale et prendre de la vitesse.

—    Bonne chance, gamin, murmura-t-il en rabaissant la porte.


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9 commentaires pour The Last Survivors, Épisode 3 – Chapitres 3 & 4

  1. Evalina dit :

    Bonjour bonjour :)

    Ha ha (rire triomphal) !
    J’ai attendu ça toute la matinée ! Quelle joie quand j’ai vu que la suite était en ligne !! Tu égayes ma journée particulièrement chiante ^^

    Ouh là, un homme d’église ! Ca ne sent pas bon cette histoire. Faut être sacrément tordu pour éventrer un bébé et en extraire le cœur. Bon après, les bébés, j’aime pas ça plus que ça, donc je peux le comprendre. C’est chiant, ça braille, ça pue, pis ça réduit les chances de survie quand on est en plein cœur d’une invasion de zombies. Ça m’aurait plus dégoûtée s’il avait éventré un pauvre chien, ou pire, un chat (rien que d’y penser, j’en ai des sueurs froides : /), comme dans le livre Zombie Island, quand ils utilisent les animaux comme diversion face aux zombies (moment du bouquin que je n’avais vraiment pas apprécié :( )

    Mais dans quoi elle s’est encore fourré la Sarah, là ?! Heureusement, c’est plus un bébé (même si elle agit comme tel… Non, elle n’est pas retournée dans mes bonnes grâces, elle m’agace encore, j’ai pas apprécié qu’elle laisse un Henry inconscient à portée des zombies), elle a peut-être une chance de garder son cœur dans sa poitrine.
    On dirait une princesse Disney d’avant les années 90, toujours en détresse et qui attend son prince pour être sauvée.

    Une bonne petite suite, pas énormément d’action, mais on en apprend beaucoup. Une suite plutôt basée sur le coté humain de l’histoire (Henry qui tombe sur un gentil petit couple de vieillards, il a eu de la chance :), les gens bien existent encore, en dehors de lui j’veux dire)
    Il me semblait bien sympa ce petit vieux, mais je crains que ses jours ne soient comptés. Bah oui, quand le héros croise des survivants, ces derniers meurent inéluctablement dans les heures qui suivent, comme s’il portait la poisse. Je pense notamment aux gens (un couple et un petit garçon) chez qui Jerry et sa famille vont dans World War Z, au tout début de l’épidémie, dans l’immeuble. Ou à Guillermo et sa maison de retraite dans l’épisode 4 de la 1ère saison de the Walking Dead.
    En tout cas, ce révérend, ça m’a l’air d’être un sacré goujat (pour rester polie, je ne le connais pas encore, je ne vais pas le juger). Mais bon, Caïn aussi est un enfoiré, et pourtant je me suis attachée à lui (il doit y avoir un truc qui cloche chez moi ^^)
    Et Taylor, comment il va réagir en voyant arriver Henry ?
    La moto, comme moyen de transport… Il avait pas plus discret ? Non, parce que déjà, il va rameuter tous les morts aux alentours, mais en plus, ben les vivants sont pas sourds non plus hein (mais ils sont plus sadiques).

    PS : Le révérend, je l’imagine exactement comme le curé qui avait célébré le baptême de ma nièce et qui était complétement beurré et sentait affreusement la vinasse… Ca va être marrant de l’imaginer en territoire zombie haha

    • Sébastien dit :

      Effectivement, ces chapitres sont plus basés sur le côté humain. J’appelle ça des chapitres “gentils”. C’est un peu comme ces salles dans RE (les premiers jeux) où on pouvait sauvegarder et ranger nos objets. Pas de zombies. Pas de dangers. Juste un peu de repos… Mais attention, le calme cache parfois une terrible tempête à venir! ahahah

  2. Comtesse Tateyre dit :

    Rohlalalalala!!! J’ai adoré ce chapitre, très émouvante la rencontre avec cette petite famille, j’espère qu’il ne leur arrivera rien de trop grave, les pauvres. :-(
    Ce sale Réverend me rappelle un peu le Gouverneur de The Walking Dead, et comme lui je ne l’aime pas du tout. J’espère que Henry va lui faire payer ses crimes, monstre!
    J’ai hâte de lire la suite, et notamment la rencontre avec Taylor car même si Henry lui explique, vu que Robert ne lui a pas donné de lettre ou quoi, il va falloir que Taylor le croie sur parole et à mon avis il y a un gros risque qu’il pense qu’il a tué toute la petite famille avant de s’emparer de leurs biens. Qui sait, peut-être va-t-il même croire qu’il bosse pour le Révérend. Oui, je sais, je suis à la limite du parano mais j’ai tendance à me méfier des gens, du coup…

  3. heisenbergg dit :

    Apparemment je suis le seul a pas voir que tout ca est une histoire exceptionnelle….
    Question aux fans:vous connaissez autre chose que TWD?
    Pas du tout original,trop poli,références aux classiques mal venues,trop de dialogues naifs…..
    Mais visiblement,c’est énorme,donc on va continuer…

    • Squeletor dit :

      Heisenbergg, ce serait bien si tu pouvais arrêter de te montrer aussi agressif. Tu as le droit de ne pas aimer, et tu n’es certainement pas le seul, en revanche, ça serait cool que tu arrêtes de t’en prendre 1) à Sébastien (ce que tu as déjà fait gratuitement dans d’autres postes) 2) aux personnes qui apprécient TLS. Tu n’y trouves pas ton compte ? Soit. Pas la peine d’en faire une affaire d’état et de provoquer les autres. Ton avis est le bienvenu mais sans cette virulence de troll qui cherche la provocation.

  4. heisenbergg dit :

    Par le pouvoir du crane ancestral!!!Chauffe pas Musclor,dès le dimanche matin camarade!
    “virulence de troll”,magnifique….Pas la peine de te mettre en mode Chuck Norris,”agressif”,”provocation”,doucement quand meme,ca c’est gratuit….Mais message recu…sans rancune…

  5. Trixie dit :

    C’est vrai qu’a un moment je me suis sentie bafouée (toute ma culture zombiesque insultée) en tant que “fan de TWD” -car oui c’est le rapprochement immédiat qui vient tout de suite en tête, ça ne ressemble pas a du Romero et encore moins a du The Asylum- mais j’ai remballée ma répartie car je suis persuadée que la remarque d’Heinsenbergg n’avait pas pour objectif de troller, juste une franche critique (et/ou une exaspération d’avoir le sentiment de ne voir rien de neuf, peut être tout autant légitime que celui d’être soulé de lire toujours le même genre de critique à chaque épisode).
    Alors forcément quand on attend quelque chose de novateur et que l’on apprécie pas, ça peut être dur a entendre et paraitre plutôt radical. Je pense simplement que Sébastien s’inspire de tout ce qu’il a vu et lu, de ce qu’il a trouvé bon et essaie de le retranscrire voire de l’améliorer à sa sauce, sans aucune prétention. Je ne crois pas que son but premier est d’être forcément original, différent des autres. Une bonne recette ne se modifie pas nécessairement. Pourtant malgré des éléments de déjà vu je sens quand même quelque chose de personnel, et comme il nous l’a confirmé je suis persuadé qu’il saura nous surprendre.
    -Dans cet épisode encore plutôt bien mené, ça ne sent pas le neuf mais l’histoire avance. Alors bien sur on peut tout dire et faire partager son ressentiment, seulement une critique est bonne surtout lorsqu’elle est dument argumentée et quelque part constructive.
    Heisenbergg, si on a tous compris ton point de vue, on ne connait pas ta théorie, c’est vrai. J’ai besoin d’être éclairée car ce n’est pas si évident pour moi même si jai l’impression d’avoir ingurgité beaucoup trop de trucs en matière de Z:
    -Ou veux en venir ce tueur de bébé?
    -Es tu persuadé que Sarah représente l’antidote? Quel est le secret?
    -Comment va se passer l’infiltration et la rencontre?

    A ce niveau, j’avoue que je suis accrochée et que ça reste plaisant à lire. ça m’aide aussi bien a tromper l’attente chaque semaine pour Z Nation, TWD, et les sorties long métrages (merci de m avoir aidé a tenir jusqu’à zombeavers & Disaster LA). Pour moi, Seb aura quand même réussi a remplir certaines clauses du contrat et rien que pour cela je lui en suis reconnaissante.

    Alors encore une pour la route: La fameuse arme retrouvée dans le carton me rappelle celle de rick (Colt Baby Dragoon & Colt Python), mais les puristes (coté NRA pas Z) trouveront pourtant des tas de différences…!

    Bien Amicalement, Trixxxie :))

  6. Sébastien dit :

    Alors j’y vais ou j’y vais pas… Bon j’y vais quand même… lol.
    Une histoire qui fait débat est une histoire qui interpelle à mon sens. J’aurais vraiment été déçu de n’avoir aucun commentaire, bon ou mauvais, à chaque publication. Donc je suis ravi que les choses se passent ainsi.
    Comme la dit Trixxxie, je n’ai jamais prétendu faire la plus originale des séries littéraires ou encore de renouveler le genre. Je veux simplement que les lecteurs passent un bon moment en compagnie des personnages. C’est tout.
    Alors oui… ce début d’histoire n’est pas très original. Oui…. les dialogues ne sont pas mon point fort. Et oui… les références peuvent parfois en irriter certain (je savais que j’aurais pas dû citer Mila… mdr). Mais je reste cohérent envers mes convictions sur le genre. Je vous propose ma vision… Mon ressenti sur ce genre… Et si j’ai réussi à faire passer à 1 personne un bon moment, alors mon contrat sera rempli haut la main. Et visiblement avec Trixxxie c’est le cas. Alors pour moi, c’est gagné.

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