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7 Days to Die, un fps à la sauce Minecraft

7 Days to Die

Alors qu’Activision a sorti le jeu raté The Walking Dead : Survival Instinct et que World War Z s’apprête à débarquer sur smartphone, le studio indépendant The Fun Pimps prépare une nouvelle expérience zombie intitulée 7 Days to Die. Encore en version pre-alpha, ce jeu basé sur un moteur identique à celui de Minecraft nous proposera un mélange de fps et de rpg.

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à 23:53

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World War Z : le jeu pour smartphone débarque, Max Brooks se dédouane de tout lien entre le film et son livre

world war z game

Il y a quelques jours World War Z revenait à l’assaut avec une campagne de communication virale pour la sortie du film. Cette campagne qu’on avait trouvée plutôt pourrie (comment ça comme le film ? Il est même pas sorti !), a rapidement été suivi par l’annonce de la sortie, le 30 mai prochain, d’un jeu pour smartphone (Android et iOs) inspiré du film.

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à 22:42

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Zombie Shooter, vous avez une âme charitable ? Dégommez donc du zombie !

zombie shooter 2

Si vous recherchez des petits jeux vidéo d’arcade zombies pour votre PC, il se pourrait bien que cette news fasse votre bonheur. En effet, le site Bundle Stars vient de mettre en vente pour une durée de 9 jours encore, un lot de 4 mini-jeux d’arcade pour PC pour la somme de 1$. Il s’agit de Zombie Shooter, Zombie Shooter 2, Alien Shooter Revisited et Alien Hallway. Si deux des jeux concernent, comme vous l’avez compris, la racaille intergalactique, vous aurez tout de même les moyens de passer vos nerfs sur les zombies dans les deux autres.

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Call of Duty Black Ops 2, Mob of the Dead arrive sur PC et PS3

Mob of the Dead

Il y a plus d’un mois, on vous parlait de la nouvelle DLC pour Call of Duty Black Ops 2. En effet, le 16 avril dernier, Activision sortait sur Xbox 360 un nouveau contenu téléchargeable intitulé “Uprising” dans lequel on pouvait découvrir une aventure inédite au nom sympathique de Mob of the Dead.

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à 14:28

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The Dead Linger, un jeu prometteur

thedeadlinger-banner

Au milieu des gros jeux AAA traitant de notre univers favori, une production indépendante disponible en version alpha se profile. The Dead Linger, produit par Sandswept Studio, est ainsi disponible et jouable dans sa préversion (comprenez qu’il s’agit d’une version de développement bien loin de ce que devrait être la version finale) en échange de la somme de 19,99$. Et, même s’il est beaucoup trop tôt pour s’avancer, le projet est déjà prometteur.

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à 16:47

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DayZ, une interview du map designer Ivan Butcha

DayZ

Alors que Rocket continue ses aventures en Asie, nous avons eu le droit cette semaine à une interview d’Ivan Butcha, le map designer du jeu. Filmée alors que l’équipe du jeu était en repérage sur les lieux réels qui ont inspiré Chernarus, la map et ville de DayZ, cette interview ne nous apprend pas grand chose. L’équipe de DayZ semble avoir du mal depuis quelques semaines à nous fournir du contenu concret mais il est quand même louable de voir qu’ils tentent de garder les joueurs au courant.

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The Walking Dead : Survival Instinct

The Walking Dead : Survival Instinct

Alors que la saison 3 de The Walking Dead est enfin terminée et que du côté du comic on reste dans l’attente du prochain numéro, vous avez peut-être eu comme nous, l’idée de vous lancer dans la grande aventure : “The Walking Dead – Survival Instinct”. Ce produit issu de la licence The Walking Dead est sorti en France en mars 2013, sur PS3, Xbox 360, Wii U et PC. Vous n’en avez pas beaucoup entendu parler ? C’est normal, quand on fait un jeu moisi, qu’on le sait et qu’on ose quand même le mettre en vente, on se fait tout petit histoire de faire passer doucement la pilule.

Un scénario au rabais

L’histoire de The Walking Dead : Survival Instinct s’ancre clairement dans l’univers de la série TV puisqu’elle met en scène Daryl et son frère, Merle. Ces derniers étant des personnages assez populaires de la série, nous ne sommes pas plus étonnés que ça qu’ils aient pu être choisis pour incarner les survivants de ce FPS post-apocalyptique.

TWD SI - Merle

Malheureusement, si vous vous attendiez à découvrir de l’inédit sur l’histoire des deux frères, vous pouvez passer votre chemin. En dehors des premières minutes de jeu qui nous expliquent que Daryl était en pleine partie de chasse avec son père et des amis lorsqu’il a rencontré les premiers zombies dans la forêt, le scénario est quasi inexistant. Après avoir découvert l’étendu du problème, Daryl part à la recherche de son frère. S’en suit alors un road trip sans grand intérêt à la recherche de Merle au cours duquel on apprendra très peu de choses sur ce dernier, et rien sur Daryl – ici, c’est une coquille vide sans personnalité.

Road trip et collecte

Le principe du jeu est de voyager d’une ville à une autre en voiture. La plupart du temps on nous propose deux directions possibles, et trois moyens de s’y rendre : l’autoroute, la route (type départementale) ou les chemins. Passer par l’autoroute consomme peu d’essence, mais elle offre aussi peu de chance d’arrêt de “collecte” et plus de chance de tomber en panne. A l’inverse, les chemins nous font utiliser beaucoup d’essence mais permettent de faire plus d’arrêts et usent moins le véhicule. Quant à la route, elle se situe entre les deux.

TWD SI - Carte

Il est important de préciser qu’on ne conduit jamais vraiment les véhicules en question. Lorsqu’on a sélectionné un objectif de voyage, une animation de chargement se lance. Au programme : petite musique d’ambiance, évolution du tracé du voyage sur la carte et parfois si on a de la chance, un dialogue entre les personnages présents dans la voiture.

Revenons quelques instants sur les missions de collecte. Il s’agit d’arrêts proposés au joueur lors d’un voyage. Ces arrêts lui permettent d’explorer un lieu pour y chercher des objets utiles. Lorsqu’on a encore de l’essence dans la voiture, il n’est pas obligatoire de s’arrêter, en revanche, s’il n’y a plus assez d’essence pour rejoindre l’objectif fixé, la “mission essence” devient inévitable. Les différents lieux de collecte se comptent à peu près sur les doigts de la main. Si bien qu’au bout de quelques arrêts on connaît par cœur le relais routier, la petite maison dans la forêt, l’allée de banlieue américaine… En plus de cela, comme la place manque vite pour stocker tous les objets récoltés, on n’a très vite plus qu’une idée en tête : établir la meilleure stratégie pour NE SURTOUT PAS s’arrêter.

TWD SI - Collecte

Malheureusement, même si on devient un roi de la gestion de l’essence, on n’est jamais à l’abri de la panne. Or, quand le véhicule est en panne, il faut trouver la pièce à changer (par exemple une batterie) dans un lieu de collecte. Et c’est reparti pour un tour.

Bien sûr, après toutes ces aventures trépidantes, on finit par arriver un jour à destination. On peut alors commencer à remplir les “vrais” objectifs du jeu. Sans trop rentrer dans les détails – car on s’en voudrait de vous gâcher la surprise – les objectifs d’une campagne sont de deux types : les principales et les secondaires. Les principales consistent généralement à retrouver un survivant et à collecter de l’essence. Les objectifs secondaires consistent à aider des survivants ou à trouver un nouveau véhicule. Palpitant, d’autant plus que les personnages que l’on peut sauver sont sans intérêt et qu’on finira bien souvent par les abandonner sur le bord de la route, faute de place dans le véhicule.

TWD SI - Survivants

Au delà de ça, le déroulement du jeu n’est pas toujours très clair puisque rien n’annonce l’état de la progression. En effet, seul le gain de trophées nous permet de savoir quand on termine un acte du jeu, mais doit on rappeler que le rôle des trophées n’est pas d’expliquer le scénario ?

Attention les yeux et les oreilles

Dans The Walking Dead : Survival Instinct, le graphisme est à la hauteur de ce qui se faisait il y a 7 ou 8 ans. Bonne nouvelle pour ceux qui n’ont pas encore de télé HD, un bon tube cathodique suffit largement ! Vous aurez quelques difficultés à lire les sous-titres mais heureusement, il n’y a pas de scénario.
On préfère vous prévenir, entre les zombies sans expression, les décors copiés-collés et les bugs graphiques divers et variés, The Walking Dead : Survival Instinct ne sera pas une promenade de santé pour vos yeux délicats. On décernera d’ailleurs la palme aux zombies en gros plan : un vrai régal.

TWD SI - Mal aux yeux

Côté environnement, il y a de quoi se lasser très vite puisque chaque niveau est doté au maximum de 4 ou 5 modèles de zombies différents, qu’on retrouve à chaque coin de rue. On a donc l’impression de tuer les mêmes zombies, encore et encore. Et comme si cela ne suffisait pas, le décor est tout aussi répétitif. Dans une même ville, les maisons se suivent et se ressemblent, un peu comme chez Domexpo. Au final, ce jeu devient vite source de frustration car on craint de mourir et de devoir recommencer la mission depuis le début, pour revoir toujours les mêmes choses.

Question musique, on a le droit au générique de la série pendant les temps de chargement des étapes de voyage, et de la musique d’ambiance lorsqu’on se fait attaquer par des zombies – un peu comme dans Resident Evil, mais en moins bien. Seule les voix des personnages sont réussies, encore heureux car ce sont les acteurs de la série (Michaël Rooker et Norman Reedus) qui ont fait le doublage. Il est probable que tout le budget y soit passé.

La frustration à l’état pur

Pour couronner le tout The Walking Dead : Survival Instinct offre un gameplay bas de gamme, digne des jeux qui étaient édités il y a plusieurs années. Pour commencer, l’interaction avec le décor est quasi inexistante. A l’époque des jeux vidéo où l’on peut briser des vitres, casser des objets ou encore éclater des portes, celui-ci nous permet au mieux de donner des coups de pied dans les quelques détritus qui jonchent le sol tout au long du jeu. Par chance, on peut encore ouvrir les portes soi même. Du temps des premiers Resident Evil, on se contentait très bien de ramasser des rubans encreur et des plantes vertes, aujourd’hui, difficile de ne pas être frustré lorsqu’on ne peut pas agir sur le décor. Le meilleur exemple pour illustrer ce point reste les “zombies-pot-de-fleur”.

TWD SI - Pot de fleur

Ce type de zombie est disposé dans un endroit inaccessible du décor et il est impossible de le tuer. On en trouvera de ce genre dans les commissariat où les zombies enfermés dans une cellule sont immortels. Il est impossible de les tuer tirant à travers les barreaux. Quoi que vous fassiez, ils continuent de faire des bruits gutturaux douteux et ne font même pas mine de vous attaquer.

Du côté des possibilités de mouvements, la déception est aussi au rendez-vous. Impossible de sauter au-dessus de certaines voitures ou de passer sous un camion dont le châssis se trouve à un bon mètre du sol. C’est particulièrement agaçant au début lorsqu’on ne connaît pas assez le jeu. Sans aucune liberté de jeu, on se retrouve régulièrement attrapé par les zombies dans un cul de sac alors qu’on pensait pouvoir passer. Comme les villes sont des couloirs constitués d’immeubles, de voitures et de barrières, votre route est tracée !

Il reste ensuite le plus important (ou presque) dans un FPS, l’élimination des zombies.
Bien que la liste des armes puisse paraître alléchante – on y trouve : marteau, couteau, masse, batte de baseball, pistolet, fusil à pompe, à lunette… – le choix est finalement restreint. En comparant les spécificités des armes contondantes, on s’aperçoit que seules une ou deux sont rapides et efficaces, les autres étant des gadgets. Les armes à feu sont vite laissées de côté pour éviter d’attirer tous les zombies du coin. Par ailleurs, les munitions récoltées sont rarement suffisantes pour prendre le risque de faire face à une horde. Au final, il y a de grandes chances pour que vous optiez pour une arme comme le marteau, et ce, quasiment jusqu’à la fin du jeu.

TWD SI - Arme

Bien sûr, on finit par obtenir la fameuse arbalète de Daryl. Discrète et efficace, elle fait bien l’affaire, mais on passe son temps à courir après les carreaux perdus. Quant au combat au corps à corps, il est tout simplement ridicule. Lorsqu’un zombie vous attrape, vous devez viser son visage à l’aide de votre couteau pour lui planter dans la tête. Si vous avez plusieurs zombies à vos trousses, les autres attendent bien sagement leur tour pour se faire planter au couteau, sans vous attaquer. On peut ainsi tuer des dizaines et des dizaines de zombies à la queue leu leu…
Au final, tuer du zombie dans The Walking Dead : Survival Instinct est extrêmement lassant et sans intérêt. D’autant plus qu’il n’est pas possible de nettoyer une zone a priori fermée, de nouveaux zombies finissent toujours par surgir de nul part.
En ce qui concerne les autres objets, on en trouve beaucoup, mais la plupart ne sont pas intéressants ni très utiles. On termine le jeu avec un coffre de voiture plein à craquer alors qu’avec un marteau, de la nourriture, (beaucoup) d’essence et plus tard, l’arbalète, on peut terminer le jeu sans encombre. Profitons-en pour préciser que finir le jeu ne débloque aucun mode spécial. On obtient juste des compétences supplémentaires pour la partie suivante, quelle chance !

En conclusion, nous pouvons dire sans hésiter que The Walking Dead : Survival Insctinct est un jeu raté, à tous les niveaux. Ce n’est ni plus ni moins qu’un objet destiné aux fans de la licence prêts à se faire voler 60 euros pour compléter leur collection.

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Plants vs. Zombies 2, la suite tant attendue

Plants vs. Zombies 2

En 2009, Plants vs. Zombies débarquait sur à peu près toutes les plateformes. Dans ce tower defense, vous deviez empêcher des morts-vivants d’entrer dans votre maison en posant des pièges dans votre jardin. Ces pièges, composés de plantes ou de champignons, vous permettaient de ralentir ou détruire les hordes de zombies voulant dévorer votre cerveau.

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à 19:58

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Dniepr, une nouvelle campagne pour Left 4 Dead bientôt disponible

left 4 dead dniepr

En 2009, le studio Valve sortait Left 4 Dead 2 et remportait un franc succès en plaçant les joueurs face à des hordes acharnées de zombies. Basé sur un système de campagnes, Left 4 Dead comptait plusieurs campagnes initiales et les joueurs devaient réussir différents chapitres avant d’en achever une. Le 20 mai prochain, vous pourrez donc télécharger sur L4Dmaps.com une nouvelle campagne inédite intitulée Dniepr : Life is not a Bed of Roses et développée par les français (cocorico !) de Elseware Experience.

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à 10:00

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Dead Island Riptide

Dead Island Riptide

Sorti en septembre 2011, le premier Dead Island avait enchanté bon nombre de joueurs par sa fraîcheur. En effet, le studio Techland avait réussi à l’époque à mélanger RPG et FPS de manière originale. Dans un cadre paradisiaque, nous découvrions des survivants prêts à tout pour s’échapper d’une île envahie par des infectés. Aujourd’hui, nous nous intéressons à sa suite intitulée Dead Island Riptide et, force est de constater, elle surfe sur les fondamentaux qui ont fait le succès du premier épisode.

Après la sélection des personnages au cours de laquelle on peut découvrir John Morgan, nouveau venu à l’histoire personnelle plus que caricaturale, nous retrouvons les survivants à l’endroit exact où nous les avions laissés lors du précédent opus. Désormais enfermé sur un navire militaire, notre personnage apprend très vite que le cauchemar n’est pas terminé : le bateau sombre alors que le virus s’y propage. Rapidement, nous nous retrouvons au milieu d’un vaisseau infesté de zombies et devons les combattre avec des armes de fortune. Quelques coups de clé anglaise plus loin, nous nous réveillons sur la plage de Palanai pour, comme dans le premier épisode, affronter du zombie sur une île tropicale. En effet, alors que Techland nous offrait un décor vraiment inédit lors du premier Dead Island, les développeurs ont décidé de nous resservir à peu près le même cadre sans vraiment innover.

Paysage de Dead Island Riptide

Côté nouveautés, rien de bien extraordinaire. Les développeurs ont bien compris ce qui avait plu dans le premier opus et ressortent donc la même chose. Ainsi le système d’évolution des personnages reste inchangé tout comme le sympathique système de l’atelier qui permet de créer ou améliorer nos armes, étape cruciale pour affronter seul ou à plusieurs le large bestiaire d’infectés de l’île. Quelques changements tout de même au niveau de l’île avec l’ajout de zones inondées, prétexte à nous faire piloter un nouveau type de véhicules : les bateaux. Un ajout intéressant mais qui n’apporte pas vraiment une grande nouveauté en terme de gameplay puisque les déplacements en bateau ou en 4X4 ne changent pas réellement la manière de jouer. Les joueurs aimant l’exploration seront par contre ravis, la carte est véritablement vaste avec ses plages, tunnels, marinas, villages et forêts et les nombreuses quêtes annexes ne cesseront de vous faire parcourir l’île en large et en travers.
La vraie nouveauté vient des passages en mode tower defense. Malheureusement bien que l’idée soit intéressante, les parties avec ce mode sont incroyablement longues et peu jouissives. En effet, on pose quelques pièges et on se retrouve vite à attendre de longues minutes avant que la horde soit complètement éliminée.

Bateau

Quant au scénario, nous nous retrouvons avec une histoire nanardesque dans laquelle figurent des personnages caricaturaux à souhait. Certains trouveront sûrement cette trame ridicule mais le studio de développement semble assumer cette direction artistique qui s’avère, tout compte fait, jouissive et fun. En effet, Dead Island Riptide n’est pas là pour nous faire réfléchir mais bien pour nous divertir ce qu’il parvient à faire sans souci.

Niveau gameplay, quelques problèmes se font sentir comme par exemple, certains sauts qui sont plus qu’approximatifs. De la même manière, en mode solo, on peut être gêné par l’obligation de devoir passer par le côté conducteur pour entrer dans un véhicule. La difficulté est aussi de mise : les zombies courent, explosent et sont véritablement coriaces. Les combats sont souvent longs, rudes et chaotiques si bien que les courageux y verront un challenge de taille tandis que les néophytes risqueront d’être vite dépassés par les évènements. On se retrouve ainsi parfois à taper dans le vide et à manquer notre cible tellement nous avons peur de nous faire agripper par les mains décomposées de nos assaillants.

Pour conclure, Dead Island Riptide ne dépaysera pas les joueurs du premier opus. Toutefois, malgré son manque d’originalité par rapport à son prédécesseur, le fun est toujours présent. Le jeu semble donc plus proche d’une version 1.5 que d’une véritable suite mais apporte tout de même le plaisir que l’on attend d’un FPS zombie.

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